Résumé
"La littérature peut ne pas être consensuelle, verbeuse et chiante. Elle peut prendre la forme d'une claque ou d'un cocktail Molotov. Elle l'a fait, le fait encore, le fera tant qu'il y aura des tarés, des marginales, des inadaptés, des invisibles pour nous conter des histoires, jusqu'au dernier feu de camp des derniers humains qui auront survécu à la toute fin de la fin du monde." Mačko Dràgàn (ré)inscrit la littérature dans le champ de la culture pop subversive, donnant à voir la multiplicité des possibles désirables… Dans un capitalisme qui broie les voix dissonantes et uniformise tout produit culturel, existe-t-il encore une place pour des récits d'émancipation bien vénères ? Oui.