Pour son premier roman, Béatrice Guillemard bat en brèche les idées reçues sur les grands ensembles de nos villes : violences, voitures brûlées, jeunes désœuvrés, trafics illégaux...
Ces tours qu’on supprime les unes après les autres sont aussi des lieux de vie, avec leurs joies et leurs peines où s’y créent une identité.