Résumé
La question climatique n'est-elle pas devenue un dogme entretenu par une Église moderne connue sous l'acronyme de GIEC ? N'est-il pas devenu hérétique d'émettre ne serait-ce que l'ombre d'un doute sur cette institution que Margaret Thatcher porta sur les fonts baptismaux ? Triste époque, où douter de l'infaillibilité du GIEC vous vaut le sobriquet de climato-sceptique, où l'esprit critique, la démarche scientifique et le discours rationnel cèdent le pas à la peste émotionnelle.