Résumé
Mai 68, les gilets jaunes, c'était encore nous. Toujours nous. Nous, avec nos foutues idées de révoltes contre l'intolérable et l'insupportable de l'exploitation et de l'oppression de l'être humain par l'être humain. Nos idées de révoltes contre le pillage des biens communs, le réchauffement climatique, le manque d'eau, la croissance économique sans fin dans un monde fini, un capitalisme fou et suicidaire. On nous pardonnera donc d'avoir osé mettre en œuvre, ici, là et ailleurs, ce que vous qualifiez d'utopies. On vous pardonnera de découvrir que l'anarchisme, finalement, aura simplement eu tort, grâce à vous, d'avoir eu raison trop tôt.